Si tu m’avais dit un jour que le chinois allait changer ma vie, j’aurais probablement éclaté de rire.
J’étais nul en langues, sans aucune prédisposition, et encore moins de motivation particulière.
Et pourtant… un simple trajet de métro, un matin comme les autres, a tout déclenché.
À l’époque, rien ne me destinait à apprendre le mandarin.
Je n’étais pas ce genre de personne “douée pour les langues”, ni un passionné d’Asie qui rêve de calligraphie depuis l’enfance.
J’étais juste un Français ordinaire, qui enchaînait les journées, les transports, les obligations… et qui essayait de trouver du sens à tout ça.
Et pourtant, en 20 mois, cette langue qui me semblait inaccessible est devenue un pilier de ma vie.
Elle m’a ouvert les portes d’un nouveau pays, d’une nouvelle culture, d’une nouvelle famille.
Elle a transformé mon quotidien, mes projets, ma manière de voir le monde.
Dans cet article, je vais te raconter comment tout a commencé.
Comment je suis passé du mec qui a eu 2/20 en allemand… au gars qui a finalement obtenu le plus haut niveau officiel en chinois.
Sans talent particulier. Sans méthode secrète. Juste avec quelques choix, quelques habitudes…
et une bonne dose d’humanité !
C’est partI 😉
Sommaire
- Juste un gars nul en langues
- Le déclic dans le métro
- Mes premières petites victoires du quotidien
- Les moments de doute
- Les rencontres qui ont tout changé
- Comment j’ai dépassé le niveau intermédiaire
- Direction la Chine
- Mon nouveau pays d’adoption.
- Retour en France
- Partager mon état d’esprit et mes méthodes
- Ma Mini-formation gratuite (apprentissage)
- Ma Lettre quotidienne (culture & voyage)
Juste un gars nul en langues

Mes notes au BAC : Comme tu peux le voir, je partais vraiment de loin, en particulier en langue ^^
Avant de continuer, il faut que tu saches quelque chose : je ne suis pas né avec un “don pour les langues”.
Franchement, c’est même tout l’inverse.
Au lycée, j’étais le mec caché au fond de la classe qui espérait que le prof ne l’interroge pas.
Résultat ?
Un magnifique 2/20 au bac d’allemand. Un score qui devrait presque être encadré tellement il résume bien mon niveau de l’époque.
Et histoire de compléter le tableau : lors de mon tout premier cours de chinois à la fac, je me suis carrément fait virer.
Motif officiel : “manque de travail”.
Je crois que c’est la seule fois de ma vie où un professeur a perdu patience à ce point-là.
Donc non, je ne partais pas avec un avantage.
Pas de facilité naturelle.
Pas d’oreille musicale.
Pas de passion cachée.
Juste moi, mon niveau catastrophique… et une curiosité un peu étrange pour une langue que tout le monde qualifiait “d’impossible”.
À lire aussi : Est-ce vraiment difficile d’apprendre le chinois ? – Retours d’expérience
Le déclic dans le métro
Le vrai tournant n’a pas eu lieu dans une salle de classe, ni lors d’un voyage en Chine.
Il a commencé dans un endroit beaucoup moins glamour : le métro parisien ^^.
À cette époque, je passais entre 2 et 3 heures par jour dans les transports.
Un matin, sans raison particulière, j’ai sorti mon téléphone et j’ai téléchargé une application pour apprendre le chinois.
Juste pour “voir”. Juste pour occuper le temps. Je n’avais aucune intention sérieuse derrière ça.
Mais au lieu de subir ces heures perdues, j’ai décidé de les transformer en quelque chose d’utile.
À chaque trajet, je me lançais un petit défi :
“Combien de mots je peux apprendre avant la station suivante ?”
“Est-ce que je peux retenir ce caractère sans regarder mon téléphone ?”
C’était comme un jeu.
Un jeu qui, sans que je m’en rende compte, posait les premières briques d’un changement bien plus grand.
Mes premières petites victoires du quotidien
Très vite, j’ai compris quelque chose d’essentiel :
je n’avais pas besoin d’être motivé. Je n’avais pas besoin d’être doué. J’avais juste besoin d’être régulier.
Alors j’ai commencé petit, vraiment petit.
Chaque jour, pendant mes trajets en métro, je me donnais un objectif minuscule :
- apprendre 5 mots ;
- comprendre une phrase d’un podcast ;
- reconnaître un caractère sans tricher ;
- répéter un nouveau son jusqu’à ce qu’il devienne naturel.
Parfois, c’était facile. Parfois, j’étais fatigué et je n’avais envie de rien.
Mais je faisais quand même “un petit truc”.
Même si ce n’était que 2 minutes.
Et tu sais quoi ?
Petit à petit, j’ai commencé à reconnaître des mots sans m’en rendre compte.
Puis des phrases.
Puis des structures.
C’était subtil, mais très réel.
Comme si, chaque jour, j’ajoutais un grain de sable… et qu’au bout de quelques semaines, ce grain devenait une dune.
Je ne progressais pas grâce à un “don”.
Je progressais grâce à la répétition, la fameuse répétition espacée dont tout le monde parle aujourd’hui.
Les moments de doute
Bien sûr, il y a eu des moments de découragement.
Comme cette fois où, après des mois de travail, je me suis retrouvé incapable de comprendre une simple conversation entre deux amis chinois.
J’ai eu envie de tout abandonner, convaincu que je n’y arriverais jamais.
Mais j’ai appris à transformer ces moments de doute en motivation.
Je notais les mots que je ne comprenais pas, je demandais de l’aide sur des forums d’entraide, je faisais des recherches.
Et petit à petit, tout prenait sens.
Mon mentor et son défi des 90 jours

Le boss du game !
Le vrai déclic, celui qui a complètement changé ma manière d’apprendre, n’est pas venu d’un prof… mais d’une vidéo YouTube.
Un soir, un peu par hasard, je suis tombé sur une interview entre Scott Young et Olle Linge.
Scott racontait comment il avait appris le mandarin intensivement… en 3 mois.
À l’époque, pour moi, c’était presque de la science-fiction. Je me souviens m’être dit :
“Trois mois ? Sérieux ?”
J’ai revu la vidéo plusieurs fois.
Pas pour copier son exploit, mais parce que ça m’a fait réaliser une chose simple : si je voulais progresser, il fallait que je me fixe un vrai objectif.
Ce soir-là, je me suis fixé un défi : tenir de petites conversations en mandarin dans les 90 jours.
L’apprentissage du chinois me semblait désormais accessible.
À portée de main. Il me suffisait de deux choses :
- Être assez discipliné pour pratiquer le chinois TOUS les jours.
- Adapter ses méthodes à ma façon d’apprendre pour rendre cet objectif atteignable.
Dans le métro, j’écoutais des épisodes de podcast pour habituer mon oreille à la langue.
Je créais aussi mes listes de vocabulaire sur ANKI pour m’entraîner sans avoir besoin d’écrire sur du papier.
À lire aussi : Apprendre le chinois rapidement : la méthode des 90 jours
Les rencontres qui ont tout changé
Mais ce qui a vraiment fait la différence, ce sont les échanges humains.
J’ai eu la chance de rencontrer des amis chinois qui ont été d’une patience et d’une générosité infinies.
Ils m’ont corrigé, encouragé, et surtout, ils m’ont fait aimer leur langue et leur culture.
Ces relations humaines ont été le moteur de mon apprentissage.

Le week-end, je participais à des échanges de langue pour pratiquer directement mon chinois sur le terrain (je suis le mec au fond avec la guitare ^^)
Après 3 mois de pratique, j’avais atteint un niveau sympa à l’oral (environ HSK 3) et j’étais capable de tenir de petites conversations entièrement en mandarin.
Et surtout, je m’étais prouvé à moi-même que j’étais capable de le faire. En seulement 3 mois, je voyais mes progrès et je sentais que j’avançais.
J’étais très fier de moi 😊
Comment j’ai dépassé le niveau intermédiaire
J’avais trouvé mon maître Yoda, il ne manquait plus que des alliés de taille pour aller plus loin.
Car je voulais mieux maîtriser la grammaire chinoise, et surtout apprendre à écrire en caractères !
L’option idéale pour moi était la suivante : des cours de chinois en petit groupe le week-end + un tandem tous les soirs pour pratiquer la conversation.
Je passais aussi beaucoup de temps à lire, et échanger sur mes nouvelles méthodes d’apprentissage avec d’autres apprenants.
Notamment sur les forums de langue comme reddit.
Et on peut dire que les résultats étaient là !
Mon professeur et mon tuteur n’en revenaient pas : en 6 mois d’études, j’étais capable d’avoir des conversations à l’oral et d’écrire sur des sujets simples (niveau HSK 4 environ).
Direction la Chine
Voyant mes progrès, je me sentais inarrêtable.
C’était comme une drogue pour moi et ça me poussait à poursuivre mon apprentissage. Je suis donc parti étudier en Chine, boosté comme jamais par ce feu intérieur.
La Chine : Passage obligatoire pour tout Padawan qui rêve de devenir un maître jedi !
J’ai choisi de partir étudier dans la ville de Kunming dans le Yunnan.
Kunming est la ville parfaite pour un étudiant.
Il fait beau, jamais trop chaud ni trop froid (on l’appelle la ville du printemps éternel en Chine). L’air est propre car la ville est située en altitude.
La vie y est agréable, les habitants très gentils et la nourriture délicieuse.
👉J’ai d’ailleurs écrit un petit retour d’expérience si jamais ça te tente d’aller étudier là-bas.
Mais la réalité m’a vite rattrapé.
J’avais beau bosser mon chinois 9 à 10 h par jour, mon niveau n’augmentait plus.
Comme souvent en langues… je me suis mangé le plateau.
Sur le moment, je vous avoue que j’avais envie de tout envoyer valser et de me contenter de mon niveau intermédiaire.
La clé du succès pour me reprendre en main et avancer ?
Me concentrer sur le plaisir de l’apprentissage, plutôt que sur les performances.
On dit souvent que c’est le voyage qui compte, et non pas la destination. Je trouve que cette phrase prend tout son sens dans l’étude du mandarin.
L’une des étapes qui m’a le plus aidée a été par exemple de faire une pause dans mon apprentissage et de partir découvrir la Chine en me faisant héberger chez l’habitant (Couchsurfing).
👉J’ai d’ailleurs écrit un petit journal de voyage si tu veux découvrir mes aventures en Chine.
Grâce à cet état d’esprit, j’ai pu dépasser ce blocage et réussir l’examen officiel du plus haut niveau de chinois (HSK6), après un total de 20 mois.
Mon nouveau pays d’adoption.
Lorsque j’ai posé mes valises en Chine, je ne savais pas que ce pays allait devenir bien plus qu’un simple lieu d’études pour moi.
C’est là-bas que j’ai rencontré mon épouse et fondé notre famille.
Ensemble, nous avons construit une vie remplie de rires, de complicité et d’amour.
Nos enfants, nés de cette union, sont la plus belle preuve de notre bonheur partagé.
Chaque jour passé en Chine, c’était comme une nouvelle aventure.
Voir nos enfants grandir dans un environnement biculturel, parler couramment le mandarin et le français, était une expérience incroyablement enrichissante.
Pendant huit ans, la Chine a été notre foyer.
Retour en France
Cependant, la pandémie de COVID-19 a bouleversé notre quotidien.
Comme beaucoup d’autres, nous avons dû faire face à des décisions difficiles. Quitter la Chine, notre pays d’adoption, pour revenir en France n’a pas été une tâche aisée.
Reconnecter avec la famille et les amis en France, tout en préservant les valeurs et les enseignements que nous avions acquis en Chine, a été une expérience de réinvention et de renouveau.
J’en parle en détail dans cet article : De retour en France après 8 années d’expatriation en Chine – Mon bilan après 1 an
Malgré la distance, la Chine restera toujours une part intégrante de notre histoire familiale.
Ces années passées en Chine ont profondément marqué notre existence.
Elles ont forgé en moi une résilience, une ouverture d’esprit et une capacité d’adaptation que je n’aurais jamais cru possible.
C’est avec une immense gratitude que je repense à ces moments, et aussi la raison pour laquelle j’ai créé ce site.
Pour partager avec toi les leçons et les histoires tirées de cette aventure extraordinaire.
Partager mon état d’esprit et mes méthodes

Chaque semaine, on se retrouve ensemble pour une classe en direct
Aujourd’hui je me suis donné comme mission de partager mon parcours, mes méthodes d’apprentissage et l’état d’esprit qui m’ont permis d’atteindre un bon niveau de chinois.
Si je regarde en arrière, je n’avais rien de plus que vous sur la ligne de départ.
Je démarrais probablement même avec de moins bonnes dispositions : j’étais nul en langues et j’ai commencé le chinois sans réelle motivation, avec juste l’envie de me lancer un nouveau défi.
Si j’ai pu y arriver, toi aussi tu peux le faire.
Ce qui compte vraiment, ce n’est pas d’étudier des heures. C’est de faire un petit pas chaque jour, même minuscule.
Comme le disait Confucius :不怕慢,就怕站 bù pà màn, jiù pà zhàn — “N’aie pas peur d’avancer lentement… aie seulement peur de t’arrêter.”
C’est exactement ce qui m’a permis d’avancer. Pas la quantité, pas l’intensité. Juste la régularité.
Je ne te promets pas de recette miracle. Mais si tu prends ton apprentissage au sérieux et que tu es prêt à t’investir, alors je peux t’aider à dépasser la plupart des obstacles.
Ma Mini-formation gratuite (apprentissage)
C’est un cours d’initiation complet à la langue chinoise dans lequel je te montre :
- comment mémoriser les caractères sans t’arracher les cheveux,
- comment poser les bases de la prononciation,
- et surtout, comment progresser avec des méthodes adaptées aux francophones.
C’est simple, accessible, et tu peux la suivre à ton rythme.
Un bon point de départ si tu veux découvrir la langue sans pression.
👉 Tu peux t’inscrire juste ici.
Ma Lettre quotidienne (culture & voyage)
Et si tu es plutôt attiré par la culture chinoise, les petites anecdotes, les conseils de voyage, ou simplement l’envie de mieux comprendre ce pays fascinant…
Alors je t’invite à rejoindre ma lettre quotidienne.
Chaque matin, j’y partage une histoire, un concept culturel, une expérience vécue, ou un petit morceau de Chine que j’ai envie de transmettre.
C’est le format le plus personnel que je propose, et beaucoup de lecteurs me disent que c’est devenu leur pause du matin.
À lire aussi :
Passionné par la langue chinoise, je vous livre mes secrets et mes meilleures astuces pour apprendre à parler mandarin en quelques mois.



Alex,
哈哈,慷慨和乐于分享的你一如既往!我读后也备受鼓舞!
给你的文章点赞:循序渐进式的学习,坚持不懈,保持学习动力和热情!
建议:附上学习过程中的生活照,让我们看到可能就近在咫尺;把你各阶段用的网站等教材在最后单独罗列一下,方便我这种小懒猪顺手牵羊。
谢谢你的夸奖
Very brilliant to share your learning experience. The secret of your success is your persistence. I saw many foreign learners were very motivated and hard-working, but end up with giving up. Bravo, mec, you make it.
Thanks Fei, Hope it can help more people to learn Chinese =)
Bonjour, quels sont les podcasts que vous avez utilisé ? j’ai un niveau HSK3 mais aujourd’hui il est difficile de trouver du contenu pour continuer à progresser.
Merci !
Salut Fansims,
AU niveau des podcast, j’ai utilisé Michel Thomas (HSK 1-2), ensuite Pimsleur (HSK 3) puis les podcasts de chinesepod.com (HSK 4 à 6)
Tu peux trouver la liste de tous mes podcast en cliquant ici
je suis en (HSK1) et lisant ton histoire, suis motive d’aller jusqu’au bout. merci
加油 !
J’ai envie de tenter cette aventure ,ayant commencé à apprendre le chinois en Octobre mais coronavirus a suspendu mes cours mais je veux continuer seul! Mais j.ai besoin d’aide…ayant 75ans!
Salut René,
Envoie moi un message avec le détail de ton niveau et je t’expliquerai comment je peux t’aider 😉
Bonjour,
C’est la première fois que j’entends speedlearning. Pourriez-vous m’expliquer comment faire pour apprendre les méthodes de speedlearning en France?
Merci!
Moi j’aimerais épouser une chinoise de Shanghai , ne pas connaître la langue serait voué à l’échec. Elle et moi sommes ambitieux. Je me donne 3 ans. Ton aventure me donne toute confiance à mon projet. Merci Alex.
Ravi de pouvoir t’accompagner dans ton projet 😉
Merci pour ton super site … Ton histoire est intéressante ! 🙂
Merci Gautier, je suis ravi de t’accompagner dans ton apprentissage 😉
Merci pour ces conseils et ton histoire est passionnante !! 😉
Bonjour, j’apprends le chinois pour étudier les arts martiaux en Chine, et je passe l’examen de cette langue au Bac cette année (LV2).
Vos vidéos me sont très utiles, merci !
加油!
Je viens de découvrir votre site après avoir été piégé par Duolingo dont le caractère répétitif est quelque peu usant sans y percevoir de réels progrès. Ne faites pas comme moi , piégé par un essai soit-disant gratuit de 15 jours avec possibilité de résiliation que je crains fort de ne pas pouvoir mettre en oeuvre et devoir être ponctionner de 99€ ..
Me concernant, je suis retraité, âgé de 74 ans, marié à une chinoise de même génération depuis 10 ans, artiste peintre , écrivaine et compositeur avec laquelle nous nous partageons entre la France et la Chine, en ce moment à Nanning pour 7 mois.
Plus jeune, 40 ans en arrière, comme vous, je suivais des cours de mandarin à l’INALCO pendant mes trajets quotidiens en train. Je n’ai hélas pas eu votre persévérance, j’ai hélas progressivement abandonné au bout de quelques mois.
Avec mon épouse, que j’admire pour avoir réussi brillament son DELF A2 en Français à l’université de Besançon, nous échangeons hélas (et j’en suis responsable ..) en anglais dès qu’une difficulté de compréhension se fait jour en français. Mais jamais en mandarin. Car elle ne me sent pas vouloir faire l’effort.
Donc je vais m’y mettre sérieusement dorénavant. Alors certes, à nos âges, nous profitons au maximum de notre temps libre pour voyager . ainsi nous envisageons dès la semaine prochaine de partir en Mongolie intérieure pour environ 1 semaine.
Mais je vais tenter de relever ce challenge.
Petit problème, le VPN en Chine n’étant officiellement pas autorisé (dixit le consulat de Chine à Canton), impossible de visionner votre vidéo introductive sous youtube (Google), je vais m’attacher à configurer du mieux sans cette aide qui eut été fort utile. Merci pour aide précieuse et vos encouragements. (Ich weiss ein dorfchen voll sonnenchein … (caractère germaniques indisponibles ) début d’un poème de Liliencron
Bonjour,
Tout d’abord, merci pour votre partage d’expérience, il est toujours inspirant de voir que la passion d’apprendre le chinois n’a pas d’âge !
En ce qui concerne votre situation avec Duolingo, je suis désolé d’apprendre que vous avez été déçu. Pour éviter d’être facturé pour la version premium, vous devrez résilier l’essai gratuit dans les paramètres de votre compte avant la fin de la période d’essai de 15 jours.
Pour ce qui est de l’apprentissage du mandarin, c’est tout à fait possible à tout âge. Cela demande de la persévérance, et il semble que vous soyez prêt à faire cet effort.
Concernant le VPN en Chine, c’est effectivement une question délicate. L’utilisation de VPN n’est pas officiellement approuvée par le gouvernement chinois, mais beaucoup de gens en Chine l’utilisent pour accéder à des sites et services bloqués comme YouTube.
Cependant, je suis sûr que vous trouverez d’autres moyens d’accéder au contenu qui vous aidera dans votre apprentissage. N’hésitez pas à me demander si vous avez besoin de plus d’informations ou de ressources.
Pour finir, je vous souhaite une bonne continuation dans votre apprentissage du mandarin et un agréable voyage en Mongolie intérieure !
Cordialement,
Alex